La surveillance de la qualité de l’air est assurée par Atmo Hauts-de-France, association agréée par le Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie. Ses rôles :

  • assurer le suivi des polluants atmosphériques réglementés
  • informer le public.

Qualité de l’air à Divion :

https://www.atmo-hdf.fr/air-commune/Divion/62270/indice-atmo?adresse=Divion

Pourquoi agir pour une meilleure qualité de l’air ?

La pollution de l’air présente un impact sanitaire important puisqu’elle agit sur les systèmes respiratoires et cardiovasculaires et est à l’origine de troubles de la reproduction et du développement de l’enfant, de maladies endocriniennes et neurologiques. Une amélioration de la qualité de l’air induit non seulement une baisse de la mortalité, mais également une hausse de la qualité de vie et de la santé. De plus, la pollution de l’air présente également un coût économique et financier, impactant la santé, les bâtiments, les écosystèmes et l’agriculture.

Que se passe t’il en cas d’épisode de pollution ?

Le niveau de fond de la pollution atmosphérique sur le territoire régional est en permanence élevé. Des conditions météorologiques défavorables à la dispersion des polluants entrainent alors un pic de pollution. Selon l’intensité de l’épisode de pollution, le préfet peut déclencher deux types de procédures :

1.  Une procédure d’information et de recommandation : Elle correspond au dépassement du seuil réglementaire de 50µg/m3. Le préfet déclenche des actions d’information auprès du public, des maires, des établissements de santé et diffuse des recommandations sanitaires pour limiter les émissions de polluants.

2.  Une procédure d’alerte : Elle correspond au dépassement du seuil de de 80µg/m3. En complément des mesures prévues par la procédure d’information et de recommandation, le préfet déclenche des mesures réglementaires de restriction ou de suspension de certaines activités polluantes. Celles-ci, décidées en fonction des caractéristiques de l’épisode de pollution, peuvent notamment imposer des réductions de la vitesse sur les axes routiers voire la mise en place de la circulation alternée.

Démarches en ligne

Fiche pratique

Vaccinations en cas de voyage à l'étranger

Vérifié le 12 octobre 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

La vaccination vous permet d'éviter certaines maladies graves qui sévissent à l'étranger. De plus, elle permet de protéger les populations locale et française de risques épidémiques. Avant votre départ, vous devez vous informer et vérifier les vaccins utiles pour votre voyage. Les risques réels encourus varient selon votre état de santé, la situation sanitaire du pays visité, les conditions et la durée de votre séjour.

Avant tout départ à l'étranger, vous devez vous renseigner :

Demandez l'avis de votre médecin pour vous assurer que les conseils donnés sont en adéquation avec votre situation particulière.

Il n'existe pas de calendrier pour l'administration des vaccins commun à l'ensemble des voyageurs. Chaque calendrier doit être personnalisé et dépend du voyageur (âge, état de santé, antécédents vaccinaux, fréquence et nature des voyages...).

Informez-vous suffisamment tôt avant votre départ (entre 1 à 2 mois avant en cas de vaccin à effectuer).

Le projet d'un voyage est l'occasion de faire le point sur les vaccinations obligatoires et recommandées en France.

Si vous êtes partiellement vacciné ou non-vacciné, on vous proposera ces vaccinations, en plus de celles nécessaires pour votre voyage.

Cette recommandation vous concerne quelle que soit votre destination. Elle vise, en particulier, la vaccination contre les maladies suivantes :

Les vaccinations internationales sont présentées dans un bulletin annuel. Elles vous concernent uniquement si vous vous rendez dans certains endroits.

Les maladies signalées et justifiant une vaccination sont les suivantes :

  • Fièvre jaune (ou vaccination antiamarile à pratiquer pour tout séjour notamment dans les zones tropicales d'Afrique et d'Amérique du sud)
  • Encéphalite japonaise (vaccination à pratiquer pour les séjours à risques ou une expatriation dans certains pays d'Asie ou en Océanie)
  • Encéphalite à tiques (pour les séjours en zones rurales ou boisées d'Europe centrale, orientale et septentrionale, du nord de l'Asie centrale, du Japon et de la Chine)
  • Fièvre typhoïde (pour tout séjour prolongé ou dans de mauvaises conditions dans les pays où l'hygiène est précaire). Ce vaccin est particulièrement conseillé dans le sous-continent indien.
  • Infections invasives à méningocoques (selon l'actualité des zones d'épidémies)
  • Hépatite A (pays où l'hygiène est précaire, quelles que soient les conditions de votre séjour)
  • Hépatite B (séjours fréquents et prolongés dans les pays à forte ou moyenne prévalence de ce virus)
  • Rage (séjour prolongé ou aventureux en situation d'isolement dans des zones à haut risque : Afrique, Asie, Amérique du sud)
  • Grippe saisonnière (fortement conseillé chez les groupes à risques : malades chroniques, seniors participant à un voyage en groupe ou à une croisière)

Si vous vous faites vacciner contre la fièvre jaune, un certificat international de vaccination vous sera remis. Dans certains cas, une deuxième dose est recommandée.

Le vaccin contre la fièvre jaune est le seul exigé en vertu du règlement sanitaire international (qui lie 196 pays dans le but de limiter la propagation des risques pour la santé publique). Certains pays africains l'imposent comme condition d'entrée sur leur territoire pour tous les voyageurs (même si le voyageur ne fait que transiter par un aéroport).

Vous pouvez consulter le site diplomatie.gouv.fr pour avoir des informations par pays.

Ce vaccin ne peut pas être administré par votre médecin traitant. Il doit être effectué dans un centre de vaccination habilité.

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Pour en savoir plus